10/10/2018
Patience dans l'azur (emprunt à Hubert Reeves)
Les journalistes, toutes catégories confondues, n'ont donc rien compris ou alors ils le font exprès...
Le Président a changé. Nous ne somme plus en Hollandie, temps où le président passait son temps avec les journaleux et se la coulait douce... Plus de 60 heures avec deux journalistes du Monde pour un livre qui l'a sabordé, si besoin en était...
La dictature du "tout tout de suite" a fait ses preuves en d'autres temps et dans d'autres pays.
M. Macron avance à son rythme. Il a bien raison.
Les chiens aboient. La caravane passe.
12:23 Écrit par Jean Julien dans Billets d'humeur | Lien permanent | Commentaires (2) |
Commentaires
Je n'accepte pas que tu "écrives que M. Hollande se la coulait douce.
C'est ce que les journalistes écrivaient et tu fais la même chose .
Non! Jean-Yves ce n'est pas digne de toi. Objectivité oblige...
Joseline
Écrit par : Joseline | 14/10/2018
Répondre à ce commentaireEt moi je n'accepte pas que tu empruntes à Hubert Reeves Canadien ce qui est à Paul Valéry patrimoine national. Dans son poème, le contraire des affairements présidentiels : une palme qui penche, chargée de fruits, façon Tozeur et Sidi Drif.
Qu'un peuple à présent s'écroule, / Palme !... irrésistiblement !
Oh, oh... Y aurait-il un clin d'oeil "populiste" dans la dernière strophe ?
Et puis le poème est dédié "à Jeannie", c'est troublant...
Je crois que je vais m'en bercer tout aujourd'hui. Avec lenteur.
Daoud
https://fr.wikisource.org/wiki/Palme
Écrit par : Daoud | 18/03/2019
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