08/11/2017
En chine, on aime manger et boire
Couverts, Wuhan, Chine
Dans les restaurants de catégorie courante, on apporte les couverts emballés sous un film de plastique. C'est bien pour l'hygiène mais c'est aussi parce que les restaurants ne disposent pas de suffisamment d'espace pour installer une plonge. La vaisselle sale est donc envoyée dans des usines où elle est nettoyée et emballée. Baguettes de rigueur et serviettes en papier dans la boîte.
Anguilles, une des halles de Wuhan
Les poissons sont vendus vivants au consommateur. Ainsi que les grenouilles, les crabes. Tout ce qui nage est conservé dans l'eau y compris devant les restaurants. Le consommateur est ainsi sûr de la fraîcheur du produit.
Grenouilles (ou crapauds), halle de Wuhan
Crabes, échoppe de rue, Wuhan
Une consommatrice attrape son poisson au filet dans un supermarché de wuhan
Tout se consomme y compris les pattes de poulet, Beijing
Les poulets ont parfois une drôle d'allure, un peu écrasée... Beijing
L'esthétique reprend vite le dessus. Brioche avec en son sein une soupe (délicieuse). La paille permet d'aspirer la soupe à travers la brioche. Suzhou.
Fondue à la Chinoise. viandes, légumes et nouilles dans un bouillon. Shangaï.
Brochettes de scorpions dont certains sont encore vivants. Je n'ai pas goûté... Beijing dans la rue de la Bouffe.
Une gargote, ancienne concession française de Wuhan. Très bon marché, les restaurants sont légions en chine. On mange bien pour 10 € mais on peut descendre à 2 ou 3 € et se nourrir convenablement. Le salaire moyen étant à 700 €, la clientèle ne manque pas.
Pour finir, le nec plus ultra, le canard laqué de Beijing. Un délice !
16:57 Écrit par Jean Julien dans Écouter, regarder, écrire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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